Petite cochonne en sweat rose – Partie 5 : Jusqu’à l’abandon

Elle est là, encore. Toujours en sweat rose, ce vêtement devenu emblème de ses désirs, à peine posé sur sa peau nue, comme une seconde peau tremblante. Ses lèvres brillent, ses joues sont rouges, ses cuisses frémissent encore du dernier frisson. Mais ce n’est pas fini. Elle le sent. Elle en veut encore.

Chaque regard posé sur elle est une caresse. Chaque silence est un ordre muet. Elle sait lire les intentions sans qu’on les dise. Ses gestes sont plus fluides, plus confiants. Elle a franchi un cap : celui de s’abandonner sans peur. Elle n’obéit plus, elle anticipe. Elle n’attend plus qu’on la prenne : elle se tend, elle provoque, elle guide.

Ses mains effleurent, ses yeux accrochent, son souffle s’emballe. Le plaisir monte autrement cette fois. Moins brutal, plus profond. Elle sent chaque vibration dans son ventre, chaque frôlement comme une onde. Quand elle bascule la tête en arrière et murmure un « oui », ce n’est pas une réponse. C’est une offrande.

Et dans ce moment suspendu entre désir et perte de soi, elle devient sublime. Plus qu’une amante, plus qu’un corps : une femme libre dans sa jouissance, magnifique dans sa dévotion, brûlante dans son abandon.