Petite cochonne en sweat rose – Partie 3 : Possédée jusqu’au bout
1Elle ne fait plus semblant. Ce n’est plus un jeu. Son petit sweat rose, sali, froissé, à moitié arraché, pend encore sur ses épaules comme le dernier vestige d’une fausse pudeur envolée. Elle est à genoux, la bouche entrouverte, les yeux vitreux de plaisir. Elle en redemande, incapable de faire marche arrière.
Son corps tremble à chaque nouvelle pénétration, sa chatte est trempée, ouverte, offerte, et son cul rougi vibre encore des claques et des doigts qui l’ont envahie. On la retourne, on l’étire, on la pousse dans ses retranchements — et elle adore ça. Elle n’a plus besoin de parler. Ses soupirs, ses cris étouffés contre un matelas ou une main suffisent à dire qu’elle est complètement prise, soumise, heureuse d’être utilisée comme une vraie petite salope qu’on marque, qu’on noie, qu’on brûle de foutre.
Ce n’est pas un simple plan baise. C’est une prise de pouvoir par le plaisir brut, animal, répété. Et elle, dans son hoodie rose, le symbole d’une innocence pervertie, elle l’embrasse à pleines mains. Et à pleine gorge.